Les psychanalystes n’ont rien à dire en médiation animale (A. Tsaag Valren)

La médiation animale constitue un secteur d’avenir pour l’accompagnement et la progression de personnes handicapées, et notamment autistes, soutenu par un nombre croissant de publications scientifiques. En France, des psychanalystes tentent d’introduire leurs concepts pour expliquer les mécanismes à l’œuvre dans le contact entre animaux et personnes autistes, allant de la théorie du « Moi-Peau » (déjà invoquée pour soutenir l’injustifiable packing) au retour de l’intersubjectivité selon une perspective, bien sûr, psychanalytique… Des théories qui ne reposent sur aucune preuve, et risquent de saborder les efforts de reconnaissance institutionnelle de la médiation animale.

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Publié dans Autisme, Soutien

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